no roots (ambrosi)

TUMBLR.

AMBROSI BOSCO
what's the point in playing a game you're gonna lose?

AGE — Vingt-six ans, mais il a tout d'un sale gosse aveuglé par son propre égoïsme et étouffé par ses propres caprices. DATE ET LIEU DE NAISSANCE — C'est un gosse d'ici, Ambrosi. Un gamin qui ne partira jamais. de Malcesine et qui ne connait rien de la vie, ailleurs. Il est né un jour d'été, un bonheur ensoleillé, un cadeau empoisonné. Fruit d'une union toute aussi bancale que lui. NATIONALITÉ — Un italien. De ceux qui méprisent les autres pays. Il n'y a pas d'endroit plus merveilleux qu'ici. ÉTAT CIVIL — C'est un gamin qui court après les femmes, qui chante leurs louanges jusqu'au petit matin avant de s'enfuir au rythme du soleil levant. Beau-parleur mal intentionné, il n'est pas assez mature pour les estimer à leur juste valeur. Et pourtant, Dieu qu'il les aime. OCCUPATION — Il change tous les quatre matins, Ambrosi. Il s'en fout des conséquences, parce qu'il n'a pas réellement conscience des responsabilités qu'il devrait prendre, reposant entièrement sur sa soeur cadette. Pour le moment, il est serveur au caffe alla rosa, mais qui sait pour combien de temps encore. GROUPE — nativi.

cose su di me.

QUALITÉS — optimiste, généreux, drôle, tolérant, charmeur. DÉFAUTS — insouciant, égoïste, immature, caractériel, lâche, impulsif, têtu, orgueilleux, envahissant, instable. PASSIONS — la Dolce Vita: Les femmes, l'alcool, la bonne bouffe, les bonnes choses de la vie. SAISON PRÉFÉRÉE — Le printemps, la résurrection de la vie. FRUIT PRÉFÉRÉ— L'ananas. LIEU FAVORI — Son lit. RÉPUTATION A MALCESINE — tout aussi con que son paternel, mais beaucoup plus charmant. on le connait comme celui qui les embobine toutes et qui se met toujours sacrément dans le pétrin. AU VILLAGE DEPUIS — toujours.

vivere in città.
Il a son tablier blanc noué autour de la taille et son torchon posé sur son épaule gauche. Il s’élance en dehors du café pour rejoindre les clients en terrasse et le monde ne tourne plus qu’autour de lui à présent. – Ciao Ambrosi ! Come stai ? Il se retourne le sourire aux lèvres et serre la main à un habitué qui s’empresse de lui poser tout un tas de questions. Mais il n’écoute pas, Ambrosi, il n’écoute plus, les yeux rivés sur une magnifique créature assise dans le fond en compagnie d’une amie. Il retire ses lunettes de soleil pour mieux la voir, le sourire d’un prédateur cloué au bec. – Mi scusi ! Qu’il balance d’une façon peu convaincante en laissant en plan l’homme qui parlait encore. Il marche jusqu’à elle, ne prêtant même pas attention à son amie qu’il ne trouve pas à son goût. Il tire une chaise et prend place à ses côtés, commençant sa sérénade habituelle qui n’a plus de secret pour personne. – J’te paye pas pour flirter Ambrosi ! Lui balance son patron, excédé alors qu’il ponctue sa phrase de grands gestes qui témoignent de son désespoir face à son employé indiscipliné. – Tranquilo, padrone ! Il lui adresse un grand sourire charmeur et offre un clin d’œil à sa proie et très vite, l’homme disparait, grognant un italien incompréhensible dans sa barbe. Il l’a à sa bonne, Ambrosi. Comme tout le monde d’ailleurs. Et il devrait s’estimer heureux qu’il se soit au moins levé pour venir au boulot.
Le soleil tape timidement en cette après-midi de mai et le rire de la jolie brune s’évade dans les airs, contrairement à celui de son amie qui se renferme de plus en plus. Il n’a d’yeux que pour sa proie, mais son regard se perd sur ces gens qui se baladent devant le café. Des étrangers, il peut le dire sans trop de mal. Certainement des gens venus des quatre coins du globe pour les fouilles. Il s’en amuse, Ambrosi, de tous ceux-là. Des pigeons de plus à arnaquer. Des femmes de plus à amadouer.

dimmi la tua vitta.

(genitori) il a pas bien connu sa mère Ambrosi. d'elle, il ne reste que quelques souvenirs poussiéreux et malmenés par le temps. des brides peu fiables qui s'effacent au fur et à l'usure. il ne reste que son père, un homme qu'il méprise et aime avec grandes difficultés. il s'est juré de ne pas devenir comme lui, mais il marche timidement dans les traces de son paternel, l'alcool dans le sang, les responsabilités balayées du revers de la main. (sorella) les hommes sont choyées par leurs mères en Italie, mais Ambrosi, lui, il n'a pas eu la sienne. envolée, disparue, il n'a eu que Silvia. sa douce et tendre soeur, de deux ans sa cadette. il aurait dû prendre soin d'elle, mais c'est le monde qui tourne à l'envers. c'est elle qui pansait ses blessures tard dans la nuit, quand il rentrait alcoolisé et énervé de rencontres hasardeuses et malheureuses. et les choses n'ont pas beaucoup changées. si, il y a Leone, son neveu. ce petit gars qu'il jalouse, parfois, car quand elle s'occupe de son gamin, elle ne peut pas s'occuper de lui. il l'aime bien, quand il s'agit de jouer ou de lui ébouriffer les cheveux. mais il serait prêt à le tuer quand il fait ses caprices ou quand ses pleurs l'empêchent de profiter de sa sieste sacrée. (achille) l'homme qui lui donne des envies de meurtre, par moments. il le connait depuis longtemps maintenant, mais il aurait préféré qu'il en soit autrement. il déteste ses leçons de morale qui finissent toujours par tomber dans l'oreille d'un sourd. personne n'a le droit de lui dire quoi faire et encore moins un homme tel quel lui. la testostérone bouillonne quand il est dans les parages et s'il se contient la plupart du temps, il n'est pas rare qu'il s'exprime à coups de poings. il n'y a de place que pour un seul homme dans cette famille et il ne laissera pas cet étranger lui arracher son dû. (le donne) les femmes, sa grande faiblesse. il les aime sans concessions, grandes, petites, plantureuses ou finement élancées. peu importe, tant qu'elles cèdent à ses avances mal intentionnées. il promet toujours la lune, ambrosi. mais il ne décroche que l'aube qui recouvre les traces d'une nuit enivrée d'amour éphémère. il préfère les étrangères, celles de passage, les amours naissantes écorchées par une date d'expiration préméditée.  (attention whore) il ne vit que pour être le centre de l'attention, Ambrosi. sans les regards, il se fane comme une fleur en manque de soleil. il aime faire le malin, à chercher la petite bête, à s'attirer les foudres du voisin dont il a ruiné le mariage. il y a les femmes et il y a tout le reste. il aime charmer, en toutes circonstances, pour faire tourner son monde à sa façon. (i vizi) les bagarres, les paris, l'alcool à foison. il a un rythme de vie à l'envers, Ambrosi. il vit la nuit, dort la journée et il ne se sent vivre que lorsqu'il a des ennuis ou qu'il se perd entre les reins d'une ingénue. il tape sur le système de pas mal de gens, Ambrosi, mais avec sa gueule d'ange et son sourire charmeur, on lui donnerait le bon dieu sans confessions. on lui pardonne tout, même l'impardonnable, parce qu'il est comme ça et ce depuis toujours.

dietro lo schermo.

PSEUDO/PRÉNOM — camélia.
PRÉSENTATION PERSONNELLE — je suis une meuf relou qui est tombée en amour avec un scénario  
FRÉQUENCE DE CONNEXION — quotidienne.
AVATAR — Luke pasqualino.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? — bazzart.
MOT DE LA FIN — merci infiniment au staff de me laisser prendre ce nouveau personnage (ma fiche va se remplir dans la journée, je suis au boulot #thuglife)