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| Sujet: Meilleure amie & Fausse petite amie (prise par Eanna) Ven 20 Avr - 20:04 | |
| LIBREMeilleure amie et Fausse petite amieidentitàAGE — 24/28 ans. NATIONALITÉ — Italienne, elle a grandi à Rome. ÉTAT CIVIL — Célibataire officieusement, en couple libertin de manière plus officielle. OCCUPATION — au choix. GROUPE — stranieri. nostra storiaGay. Le mot qui fait mal, qui assassine dans l'univers où il a grandi. Un italien, un vrai, avec ses muscles et sa belle gueule, ça ne peut qu'aimer les culs rebondis et le galbe soyeux des poitrines généreuses. Sauf que Fabio n'y est pas sensible, et ne le sera sans doute jamais. Il a toujours été discret à Rome, sous ces regards braqués dans sa direction, toutes ces connaissances que l'on croise avec facilité dans la rue. Liaisons discrètes, camouflées derrière Elle. Elle, c'est sa meilleure amie, celle qu'il aurait souhaité aimer d'un amour démesuré, dingue de cette féminité qui la définie si bien et qu'il aurait souhaité tuer dans l'œuf. Ils prétendent être ensemble, leurs lèvres se trouvent avec habitude et sincérité. Baisers chastes, simple démonstration de leur complicité, et jamais leurs langues ne viennent s'enlacer. Ils ne s'aiment pas ainsi. Et si elle le pourrait, Fabio n'en serait jamais capable, indifférent qu'il est à sa silhouette. Pourtant, aux yeux des romains, ils étaient ensemble, véritable couple aussi vrai qu'un décor de cinéma. On pourrait les croire, à force, peut-être qu'ils y croient eux-mêmes à ce couple factice non exclusif. Eux qui s'aiment comme des âmes sœurs trop chastes, sans l'ombre d'une ambiguïté... Fabio ne sera jamais attiré physiquement par elle. A vrai dire, leur soi disant couple est plus libertin qu'autre chose, chacun ayant le droit d'aller voir qui ils veulent, sans aucune restriction ni jalousie. Un exemple de couple tolérant qui fonctionne... et pour cause, il n'a jamais été question de sexe et n'en sera jamais question.
Elle est très importante pour Fabio, c'est sa meilleure amie d'enfance, ils ont grandi ensemble, à Rome, voisins d'appartements lorsqu'ils étaient gamins. Ils sont issus de la classe moyenne, ils s'aiment à leur manière, et affirment être deux âmes sœurs. Le hic, Fabio est gay, il n'aime pas les filles, mais ça passe pas trop dans les quartiers où ils ont grandi, auprès de leurs potes des quartiers populaires, et comme on a toujours cru qu'il y avait un truc entre eux... ils sont allés au bout de la chose. Faux couple, ça l'arrange, Elle, d'un certain côté, au moins on ne la fait pas chier, elle vit sa vie, couche avec qui elle veut, mais on sait que si on l'emmerde trop, Fabio sera là pour elle, quoiqu'il arrive. Faux couple trop parfait, parce qu'il n'y a jamais eu de sexe, de jalousie ou de rancœur entre eux. Ils se pardonnent tout, se complètent, et Fab lui a même payé ses études à la fac, bien qu'elle ne pose pas de question sur l'origine de l'argent, tout comme comment il paie le loyer à Rome de l'appartement qu'ils partagent.
- Extrait de ma fiche:
« Fabio, t'es sérieux, on vient à peine d'arriver, et toi... » qu'elle soupirait la divine, les mains sur les hanches, le visage incliné sur le côté, à le scruter sous le soleil de plomb, alors qu'ils venaient à peine d'arriver en ville, et qu'il avait déjà décidé d'aller voir le site des fouilles. Il se retournai pour l'observer, trainant sa valise comme une condamnée destinée à la potence. Un sourire se dessina sur ses lèvres... « T'es pas obligée de venir, tu peux te reposer dans ta chambre, et on se retrouve après. » qu'il glissa, avant de rebrousser chemin pour s'emparer de son "boulet" en homme de la situation, lui adressant un léger clin d'oeil, suivi d'un léger coup d'épaule pour la dérider un peu. « Tu sais que quand tu souris pas, t'as l'air d'une grand-mère ? » Elle ouvrit la bouche, outrée, mais déjà des étoiles rieuses dansaient dans ses yeux, une petite victoire pour l'italien qui laissa un sourire suffisant étirer ses lippes à présent. « Quand je raconterai ça à ta mère, Fabio Lorenzo Casalta. » avança-t-elle en relevant le menton comme si elle était fâchée, mais il n'en était rien, et il éclata de rire devant son petit air moralisateur, avant de passer un bras autour de ses épaules, ses lèvres venant tout naturellement trouver les siennes. Baiser chaste, simple démonstration de leur complicité, et jamais leurs langues ne venaient s'enlacer. Ils ne s'aimaient pas ainsi. Et si elle le pourrait, lui n'en serait jamais capable, indifférent qu'il était à sa silhouette, pourtant divine. Pourtant, aux yeux des romains, ils étaient ensemble, véritable couple aussi vrai qu'un décor de cinéma, mais c'était presque une question de survie, les autres n'auraient pas compris que Fabio puisse préférer les hommes, et uniquement eux. « Tu vas vraiment m'obliger à y aller tout de suite, sans même prendre le temps d'une douche ? » s'enquit-elle finalement, levant le nez dans sa direction, tandis qu'ils avançaient, lui tirant sa valise tout en portant son propre sac à l'épaule. « Je te l'ai dit, tu peux... » « Et laisser les filles de ce trou tenter de te mettre le grappin dessus ? Jamais. » Un nouvel éclat de rire accueillit la remarque de la jolie jeune femme, parce qu'ils savaient tous les deux qu'aucune fille n'aurait jamais sa chance avec lui, et qu'elle était son alibi. A vrai dire, leur soi disant couple était plus libertin qu'autre chose, chacun ayant le droit d'aller voir qui ils voulaient, sans aucune restriction ni jalousie. Un exemple de couple tolérant qui fonctionnait... et pour cause, il n'avait jamais été question de sexe. « OK, tu prends ta douche, et seulement après on y va. Mais si tu prends trop de temps à te préparer, je te traine dehors même si tu ne portes qu'une serviette, t'es prévenue. » Ils entèrent l'instant suivant dans l'agence de location de voitures, où les attendaient leur véhicule de location, puisqu'il n'y avait pas de gare là où ils allaient. Quelques instants plus tard, ils prenaient la route, laissant le paysage défilé, tandis que Fabio appuyait son coude contre la portière et qu'elle montait le son de la musique pour chanter à tue tête. Et lorsqu'enfin le panneau précisa qu'ils étaient arrivés... tout comme le GPS, il se laissa distraire par le paysage, les maisons... jusqu'à finalement s'arrêter et se garer. Pitoresque, même plus que ça. Ce n'était pas Rome, mais il perdit le cours du temps, n'y étant à nouveau précipité que lorsqu'elle vint s'appuyer contre lui. « Alors ? » « Ca va sans doute être moins terrible que ce que je pensais. » reconnut-il, finalement plus charmé qu'il ne l'aurait avoué par les lieux, même si la vie trépidante de Rome finirait fatalement par lui manquer, il en était certain. « Allez viens mi amore, avant que je sois forcée de te vendre un rein pour prendre une douche. » souffla-t-elle en lui prenant la main pour l'attirer vers le coffre. Car si des ruines et un père inconnu les avaient attirés ici, ils pouvaient bien attendre, et elle venait de le lui affirmer haut et fort en se plaignant. piccola parola► Niveau avatar, faites-vous plaisir, vraiment. S'il existe déjà des crackship de Francisco sur le net, ça ne va pas nous arrêter. Je ne suis vraiment pas difficile, faites-moi la surprise, quoiqu'il arrive, il l'aimera à sa manière, toujours ► Ma fiche de présentation pour plus d'informations. Mais pour vous résumer Fabio, il a 26 ans, il est faussaire de tableaux de maître, et c'est comme ça qu'il gagne de l'argent, qu'il a financé leurs années à l'université ou qu'il paie le loyer. Il n'a jamais connu son père, paternel qui ignore d'ailleurs qu'il existe, mais il vit à Malcesine, et en dehors des fouilles qui l'intéressent en tant qu'étudiant en histoire de l'art, c'est pour le rencontrer que Fab a trainé Elle jusqu'ici. De toute façon, elle n'aurait pas passé son été sans lui. Ils sont meilleurs amis, des sortes de frère et sœur de cœur. ► Et pour le reste... vraiment, venez comme vous êtes, je vous aime déjà
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Dernière édition par Fabio Casalta le Sam 21 Avr - 22:48, édité 2 fois |
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